Pourquoi le vélo?
Le vélo…
Un moyen de transport si performant, mais pourtant si simple. Seulement deux roues, un pédalier, un guidon, une selle, le tout relié par un cadre et le tour est joué !
Le vélo est depuis son élaboration au XIXe siècle, devenu le moyen de déplacement le plus utilisé dans le monde – après la marche à pied bien sûr. Du commerçant afghan au businessman américain, de l’ouvrier chinois au marabout sénégalais, tout le monde est familier avec ce moyen de transport et nous sommes plusieurs milliards sur Terre à savoir monter à bicyclette.
De par sa simplicité et sa popularité, le vélo offre le moyen de transport le plus adéquat pour un voyage au long cours à qui cherche à vivre des moments privilégiés, faits de rencontres et d’échanges. En effet, voir un homme arriver seul et tranquillement à vélo dissipe plus vite les craintes et les préjugés que s’il était arrivé à toute allure en 4×4 parmi une horde de touristes, et laisse ainsi plus aisément place au dialogue, à la découverte de l’autre.
De plus, le vélo permet au voyageur de se fondre dans un paysage, de ne faire plus qu’un avec lui. En voyageant en train, en voiture ou en avion, le voyageur se trouve trop souvent face à une vitre, qui agit tantôt comme une protection face aux éléments, tantôt comme des œillères empêchant au voyageur de percevoir son environnement tel qu’il est réellement, pour le meilleur ou pour le pire.
La bicyclette est selon moi la clé d’un voyage réussit au contact des populations locales, éloignées des grands centres surpeuplés. Aussi, elle permet de s’affranchir des entraves empêchant de vivre au plus près la réalité du terrain et de se morfondre dans l’immensité des régions traversées.
C’est donc sur un vélo, à une vitesse moyenne n’excédant pas les 20km/h, que je compte traverser les déserts et franchir les chaînes de montagnes.
Durant ce voyage, j’espère pouvoir m’imprégner des paysages, mais je voudrais surtout découvrir les us et coutumes des peuples rencontrés.
Le vélo…
Un moyen de transport si performant, mais pourtant si simple. Seulement deux roues, un pédalier, un guidon, une selle, le tout relié par un cadre et le tour est joué !
Le vélo est depuis son élaboration au XIXe siècle, devenu le moyen de déplacement le plus utilisé dans le monde – après la marche à pied bien sûr. Du commerçant afghan au businessman américain, de l’ouvrier chinois au marabout sénégalais, tout le monde est familier avec ce moyen de transport et nous sommes plusieurs milliards sur Terre à savoir monter à bicyclette.
De par sa simplicité et sa popularité, le vélo offre le moyen de transport le plus adéquat pour un voyage au long cours à qui cherche à vivre des moments privilégiés, faits de rencontres et d’échanges. En effet, voir un homme arriver seul et tranquillement à vélo dissipe plus vite les craintes et les préjugés que s’il était arrivé à toute allure en 4×4 parmi une horde de touristes, et laisse ainsi plus aisément place au dialogue, à la découverte de l’autre.
De plus, le vélo permet au voyageur de se fondre dans un paysage, de ne faire plus qu’un avec lui. En voyageant en train, en voiture ou en avion, le voyageur se trouve trop souvent face à une vitre, qui agit tantôt comme une protection face aux éléments, tantôt comme des œillères empêchant au voyageur de percevoir son environnement tel qu’il est réellement, pour le meilleur ou pour le pire.
La bicyclette est selon moi la clé d’un voyage réussit au contact des populations locales, éloignées des grands centres surpeuplés. Aussi, elle permet de s’affranchir des entraves empêchant de vivre au plus près la réalité du terrain et de se morfondre dans l’immensité des régions traversées.
C’est donc sur un vélo, à une vitesse moyenne n’excédant pas les 20km/h, que je compte traverser les déserts et franchir les chaînes de montagnes.
Durant ce voyage, j’espère pouvoir m’imprégner des paysages, mais je voudrais surtout découvrir les us et coutumes des peuples rencontrés.
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